Nombreux sont les freins qui s’additionnent pour dissuader les programmateurs d’inscrire les compositrices au menu des concerts et des festivals. Entre méconnaissance et force des habitudes, les obstacles s’accumulent.

Un cercle vicieux. C’est ce qui fait obstacle à la programmation des compositrices. En effet, « pour programmer une œuvre, il faut connaître son existence mais on ne peut pas connaître son existence si elle n’est jamais programmée », remarque Marie Humbert, co-créatrice de ComposHer. Claire Bodin, présidente de « Présence Compositrices », ajoute que cette méconnaissance est également présente dès le début de la carrière d’un musicien, car (…) Pour continuer votre lecture, connectez-vous ou abonnez-vous

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