Prenez un verre de très bon vin*, mettez-vous à votre aise et savourez une bonne musique. En cette période estivale, le Palais des dégustateurs vous propose un loisir à double détente : oenologico-musical.
Ainsi relaxé, vous pourrez ensuite prendre le temps de lire les aventures du chevalet perdu. Après leur travail de ces dernières années sur le barde à la lyre et l’Infinity Project, Julian Cuvilliez et Audrey Lecorgne, de l’atelier Skal, ont en effet récidivé, en allant exhumer à Cologne un chevalet de lyre de l’époque mérovingienne. C’est pour nous l’occasion de faire un focus sur la musique de cette époque peu connue mais culturellement plus riche qu’on ne le croit.
Plus proche de nous, toutes les facettes du piano en une jeune artiste : Célia Oneto Bensaid parle de son instrument et de sa vie de pianiste, de son dernier disque et de ses projets.
Et après tout cela, direction le Canada, où la belle plume de Benjamin Goron se plaît à dépeindre le gigantisme à l’orchestre : l’octobasse.
Enfin, le courrier du chœur est signé Sophie Brissot, qui s’applique à nous persuader que oui, chanter après 70 ans, c’est raisonnable.
Je vous souhaite à toutes et à tous un bel été.

Au sommaire

Petites notes

Célia Oneto Bensaid : « La virtuosité doit être au service de quelque chose de plus grand »

Musique à déguster

Eric Chapell avec la première octobasse de l’orchestre de Montréal © Antoine Saito

Dossier : Musiques mérovingiennes

L’octobasse, ou la résurrection d’un géant

Le courrier du chœur (n°16)

 

* Avec modération bien sûr, et si vous n’aimez pas le vin, ce qui est votre droit, vous pourrez toujours admirer les paysages de Bourgogne.