Le Sacre du printemps fut en son temps rebaptisé le « Massacre du printemps » par ceux – et ils furent nombreux – qu’il scandalisa, autant par sa musique que par sa chorégraphie.  Plus d’un siècle après, il reste une œuvre brutalement innovante, qui a marqué son époque autant que l’histoire de la musique.

Danseuses du Ballet russe en 1913 dans les costumes dessinés par Nicholas Roerich pour le Sacre du printemps. (crédit inconnu via Wikimedia Comons)

Face à l’œuvre si diversifiée de Stravinsky, on peut se sentir un peu désorienté et se demander comment l’aborder. Et pourquoi ne pas commencer par le Sacre du printemps ? Si cette pièce reste la plus connue du compositeur, (…) Pour continuer votre lecture, connectez-vous ou abonnez-vous

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