Frédéric Boucher

Tombée en désuétude à la fin du 18e siècle, puis redécouverte dans le dernier tiers du 20e avec la renaissance de la musique baroque, la viole de gambe semble aujourd’hui bien installée dans le paysage musical. De jeunes musiciens s’en emparent et le son moelleux et intimiste de ses cordes séduit bien des oreilles.

Un archet baroque et cinq ou sept cordes en boyau. Le grand public a redécouvert la viole de gambe en 1991 avec le film d’Alain Corneau Tous les matins du monde, dont la bande son, réalisée sous la direction de Jordi Savall, avait suscité un enthousiasme réjouissant. La viole de gambe désigne (…) Pour continuer votre lecture, connectez-vous ou abonnez-vous

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