Caroline Sonrier, première femme a avoir pris la direction d’un opéra en France, dirige celui de Lille depuis 20 ans.

En 1992, Daniel Pennac listait dans « Comme un roman » les dix droits imprescriptibles du lecteur, dont le premier était « le droit de ne pas lire ». De même avec l’opéra, on a bien sûr le droit ne pas ne pas souhaiter y aller. Mais il serait dommage de passer à côté de ce plaisir uniquement parce que le chemin qui y mène n’a pas été tracé. Comment ouvrir les portes de l’opéra à ceux qui sont susceptibles de l’apprécier et mettre l’art lyrique à portée de tous ? Rencontre avec Caroline Sonrier, directrice de l’Opéra de Lille.

Première femme directrice d’un opéra en France, Caroline Sonrier est à la tête de celui de Lille depuis 20 ans. Elle est également l’autrice d’un rapport sur l’art lyrique, publié au début du mois d’octobre dernier. Il apparaît que (…) Pour continuer votre lecture, connectez-vous ou abonnez-vous

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L’Opéra de Lille multiplie les actions gratuites ou à petit prix autour des œuvres qu’elle produit.

– Midi : des rencontres avec les artistes : chef d’orchestre, metteur en scène (gratuit sur réservation)

– Des répétitions publiques (gratuit, sur réservation)

– Introduction à l’œuvre : Avant le spectacle, sur présentation de son billet

– Ateliers chant, éventuellement avec les enfants (10 € par atelier)

Toutes les informations, spectacle par spectacle, sont disponibles sur le site de l’Opéra : www.opera-lille.fr/fr/saison-21-22