Collecter de la musique et des chants traditionnels pour éviter qu’ils ne se perdent dans l’oubli, pour les conserver, les transmettre, se les approprier. Ce vaste mouvement, commencé au 19e siècle, a concerné une grande partie de l’Europe. Il a connu plusieurs vagues et se poursuit encore aujourd’hui sous diverses formes.

Dans ce dossier, des histoires de collectage et des passionnés. Trémolo Magazine s’est rendu au Pays Basque, en Bretagne et dans le région Rhône-Alpes pour rencontrer des collecteurs, parler de musiques traditionnelles et de ce qu’on fait aujourd’hui de la matière collectée.
Ces trois régions ne sont pas les seules dans lesquelles on fait du collectage, bien au contraire. Nous aurions également pu aller dans le Massif central, le Berry, le Nord, la Provence, la Corse, etc. Nombreuses, en réalité, sont les régions de France, et même d’Europe, qui se préoccupent de la conservation de leur culture traditionnelle. Faute de place, nous avons dû faire des choix, inévitablement cruels. Ainsi, loin d’être une revue exhaustive, ce dossier propose plutôt des éclairages sur divers aspects du collectage. De quoi avoir un aperçu, et aussi, nous l’espérons, vous donner envie d’en savoir plus et d’aller à la rencontre des collecteurs de votre propre région.

Dans ce dossier :

Paul Sébillot (1843 – 1918) Collecteur en Bretagne, il est l’auteur d’un certains nombre d’ouvrages sur les traditions orales bretonnes, dont un essai sur le patois gallo (1876), un 1880 : Essai de questionnaire pour servir à recueillir les traditions, les superstitions et les légendes (1880), une dizaine de recueils de contes et des essais sur les langues de Bretagne.

 

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