Dans le but d’améliorer la sécurité dans l’interaction entre êtres humains et chevaux, les éthologues sont à la recherche d’aides qui, sans porter préjudice à l’animal, pourraient diminuer ses réactions de défense ou de fuite, principales causes des accidents. Parmi ces solutions, la musique est une piste explorée depuis quelques années. Les premiers résultats sont prometteurs.

Le cheval est une proie. Comme tous les herbivores, il est donc « programmé » pour être stressé dans une situation nouvelle, ou si quelque chose d’inhabituel arrive, et pour prendre la fuite ou se défendre. Ces réactions instinctives sont source de mouvements brusques et dangereux. (…) Pour continuer votre lecture, connectez-vous ou abonnez-vous

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