Hautbois, clarinette, saxophone, basson mais aussi chalumeau, bombarde… nombreux sont les instruments à vent qui ont besoin d’une anche. Fine lame de roseau, simple ou double, sa conception est plutôt délicate. Dans son atelier costarmoricain, Benoît Queuffeulou en a fait son métier.

Du roseau à l’anche. Dans son atelier de Saint Agathon (Côtes d’Armor), Benoît Queuffeulou fabrique des anches pour les bombardes et les binious. Ces lamelles de roseaux qui, lorsqu’on les fait vibrer, permettent de créer un son, qui est ensuite amplifié par l’instrument.

Il y a quatre parties dans une anche, explique Benoît Queffeulou. Du roseau taillé

(…) Pour continuer votre lecture, connectez-vous ou abonnez-vous

Pour acheter cet article à l’unité . 1 € – clic