Frédéric Boucher

Cette histoire commence par une décision prise sur une intuition soudaine et se poursuit dans un atelier où se travaillent l’or et l’argent. Philippe Roelandt y répare des flûtes traversières, à la fois dans l’ombre des musiciens et à leur écoute, pour faire résonner au mieux ces bijoux chantants.

L’idée d’un ailleurs vient parfois contrarier les chemins qui semblent tout tracés. Alors adolescent, Philippe Roelandt, nanti d’un Premier Prix du Conservatoire de Bordeaux, « monte » à Paris pour passer le concours d’entrée du prestigieux Conservatoire National Supérieur de Musique. Et là, une prise de conscience soudaine lui dicte une résolution claire : il ne passera pas cet examen d’admission ! (…) Pour continuer votre lecture, connectez-vous ou abonnez-vous

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