Emmanuelle Bordon

Pour rendre les partitions accessibles aux musiciens non voyants, des spécialistes de la transcription en braille font un travail de fourmi au sein de l’association Valentin Haüy. Un métier de l’ombre, indispensable aux musiciens déficients visuels, qu’ils soient amateurs ou professionnels.

Des points en relief sur une page cartonnée. Tel est le principe de l’alphabet que Louis Braille a élaboré pour les non voyants, entre 1821 (il n’avait alors que douze ans) et 1827. Toujours en vigueur aujourd’hui, cette écriture en trois dimensions se retrouve dans de nombreux lieux publics, comme moyen de lecture indispensable pour les personnes déficientes visuelles. Mais qui, parmi les voyants (…) Pour continuer votre lecture, connectez-vous ou abonnez-vous

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